Le portage salarial, pour être indépendant mais pas tout seul.

Intégrez une structure sans renoncer à votre liberté d’entreprendre.

S’il y a un mot à retenir des transformations sur le monde du travail qu’ont engendrées la période Covid, c’est bien la souplesse. Le lieu de travail est multiforme, le professionnel est plus nomade, le temps même s’organise de manière bien moins rigide que le traditionnel 9 to 5. Au coeur de cette tendance, les indépendants font toujours figure de pionniers. Ils mènent leur carrière en dehors du cadre classique de l’entreprise en étant leur propre patron.

Et pourtant, ces irréductibles de la liberté dans le travail tendent de plus en plus à se tourner vers la formule hybride que constitue le portage salarial.

Dans ce système, c’est la société porteuse qui perçoit le règlement des factures émises par le consultant et lui avance son salaire. Cette solution permet au professionnel de bénéficier des mêmes avantages qu’un salarié : rentrée d’argent en chaque fin de mois, cotisation au 2ème pilier, prévoyance, congés. Mais ce n’est pas tout, les adeptes du portage sont aussi motivés par le confort de pouvoir s’appuyer sur une structure rassurante pour leurs clients et prospects.

Cela leur permet par exemple de pouvoir bénéficier d’une domiciliation en Suisse même lorsqu’ils viennent de l’autre côté de la frontière. Autre avantage, ils intègrent au sein de l’entreprise porteuse un réseau constitué d’autres consultants aux expertises variées avec qui ils peuvent créer des partenariats et des collaborations ponctuelles. Le portage est si souple qu’il peut aussi s’essayer à l’occasion d’un CDD que l’on peut transformer plus tard en CDI. Enfin, n’oublions pas que cette nouvelle façon d’être indépendant, mais pas isolé allège considérablement les tâches administratives qui incombent à tout travailleur indépendant lui laissant ainsi plus de temps pour s’occuper de ses clients.